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C’est un grand coup de coeur que j’adresse à Jérome Aguerre et à ses amis de la Fontaine Aux Chevaux qui préparent la 38 ème édition du festival amateur de Kerhervy à Lanester
Comme j’organisais dernièrement sur le site On va sortir Lorient une séance découverte de la marche nordique à l’étang du Ter de Lorient, le président de la Fontaine aux Chevaux Jérome Aguerre qui prépare avec ses amis la 38ème d’édition du festival amateur de Kérhervy de Lanester m’a fait le plaisir d’être à mes cotés. Jérome que je salue est aujourd’hui à l’honneur dans les colonnes de Ouest France.
Lanester. Pour sa 38e édition, le festival de Kerhervy ne manque pas de troupes de théâtre
Les membres de la Fontaine Aux Chevaux préparent la 38e édition du festival de théâtre amateur de Kerhervy qui devrait avoir lieu du 18 au 27 juin à Lanester (Morbihan), en intégrant les règles sanitaires.
Le festival de théâtre amateur de Kerhervy devrait avoir lieu du 18 au 27 juin à Lanester (Morbihan). Les membres de la Fontaine Aux Chevaux (FAC) le préparent activement en intégrant les règles sanitaires. « On revoit toute la formule, toute l’organisation pour être prêt quand les annonces tomberont, » espère le président de la FAC, Jérôme Aguerre.
Tous les aspects sont revus par l’association qui travaille également sur le planning. « Nous avons des troupes qui, malgré la crise, se sont inscrites », indique-t-il. Une trentaine de troupes se sont en effet manifestées pour participer au festival, dix-neuf ont été sélectionnées.
Pas de pénurie, donc, pour l’association qui est surprise du nombre important de troupes volontaires. « On n’a pas à se plaindre des pièces et du niveau, ajoute Jérôme Aguerre, ce sont des troupes qu’on a vues et qu’on a aimées ou bien des troupes qui ont l’habitude de venir et qui font du très bon boulot. »
La programmation devrait donc sortir bientôt.
Un festival sous contraintes
Le festival se déroulera sous couvre-feu avec des séances qui devraient avoir lieu à 18 h et 20 h. « Tout est en projet pour le moment, rien n’est encore fait, rappelle le président. On va voir si on en rajoute l’après-midi. »
Du côté de la restauration et du bar, très important pour un festival, l’association travaille actuellement sur des hypothèses simplifiées, allégées qui intègrent les gestes barrières. Gestion des flux, de la jauge, configuration des lieux, beaucoup d’inconnus encore pour le festival qui doit faire avec les mesures sanitaires. « On est fortement attachés à ce qu’il reste festif. »
Les animations sont en effet sur la sellette et dépendront des contraintes imposées. « Nous travaillons sur plusieurs versions pour être prêts le moment venu. »
Un appel aux scolaires
Le bémol pour le festival se situe du côté des scolaires. « Tous nos ateliers n’ont pas pu travailler cette année, précise le président. On recherche donc pour compléter notre programmation, des ateliers scolaires qui ont été autorisés à travailler. »
L’association lance donc un appel aux scolaires pour qu’ils puissent venir présenter leur travail lors du festival. « Ce serait bien de le présenter l’après-midi », ajoute Jérôme Aguerre. Une possibilité pour les scolaires de venir présenter leur travail sur scène en public. « Nous contactons ceux que nous connaissons, mais il faut que les autres viennent vers nous. »Êtes-vous favorable à l’instauration d’un pass sanitaire qui permettrait l’accès aux restaurants, spectacles… ?Débattez !
Contact : 07 81 13 92 11.
Tout en apportant mon soutien aux ouvriers de la SBFM qui se battent pour protéger leur emploi je tiens à félicité Laurent Le Bouedec qui non content après avoir été joueur est un fidèle supporter de l’USMontagnarde; Laurent qui a le droit avec son père Jean Paul à un article très poignant aujourd’hui dans le Télégramme de Brest
Laurent Le Bouëdec : « Je suis fier d’être un fondeur. C’est un devoir de se bagarrer »
Depuis dix jours, les salariés de la Fonderie de Bretagne, à Caudan, bloquent l’usine de Renault pour protester contre son départ. Tous se battent pour l’emploi industriel mais aussi pour la mémoire d’une usine qui a vu défiler des générations de fondeurs. Souvent de père en fils. Comme Jean-Paul et Laurent Le Bouëdec.
À 76 ans, Jean-Paul Le Bouëdec a défilé ce samedi 1er mai, dans les rues d’Hennebont (56) aux côtés des salariés de la Fonderie de Bretagne dont Renault cherche à se séparer. Parce qu’il a consacré 30 ans de sa vie à la Société bretonne de fonderie et mécanique, devenue Fonderie de Bretagne en 2009. Avant ça, dès ses 16 ans, il avait travaillé cinq ans aux forges d’Inzinzac-Lochrist jusqu’à leur fermeture en 1966. Jean-Paul Le Bouëdec a défilé pour le patrimoine industriel du pays de Lorient mais surtout pour son fils, Laurent, 52 ans, qui a suivi ses traces en entrant à la SBFM en 1992. « C’était un peu une évidence. Mon père y travaillait, mon cousin, mon oncle aussi, c’était une histoire familiale », raconte le Hennebontais. Et il est loin d’être seul. À la Fonderie de Bretagne, on est souvent fondeurs de père en fils.
La fonderie : une ambiance, une mentalité
Après des petits boulots, à l’Arsenal notamment, le jeune homme de l’époque cherchait un CDI et puisqu’il tâtait pas trop mal le ballon, l’US Montagnarde l’a fait entrer à l’usine caudanaise. « C’était comme ça que ça se passait à l’époque. Il y avait pas mal de footeux à la SBFM. Je connaissais déjà du monde en arrivant ». La fonderie, un travail fatigant, dangereux à l’époque du père de Laurent, « mais je n’ai pas été effrayé par le travail, il y avait l’ambiance, la mentalité, c’est important ». Et quand on entre à la Fonderie de Bretagne, on entre souvent à la CGT. « On m’a presque mis le couteau sous la gorge pour que je prenne ma carte », plaisante le quinquagénaire. Alors Laurent a adhéré, une fois de plus comme son père, dont il est fier. « 35 ans d’usine dont 30 à la SBFM ce n’est pas rien. Lui aussi était de toutes les mobilisations, en 1981, en 1998. Il est inquiet pour son fils car aujourd’hui le travail ne court plus les rues ».
« On ne doit rien à personne »
« Qu’est-ce que je pourrais bien faire à 52 ans ? », se demande Laurent. Une phrase que l’on entend souvent chez ceux qui ont passé plusieurs décennies dans les murs de la Fonderie. De jour. De nuit. Renault a annoncé, le 11 mars, vouloir se séparer de l’usine. Les salariés veulent poursuivre l’aventure avec le groupe français et occupent le site depuis le 27 avril. « On s’est toujours battu, on a souvent gagné et on ne doit rien à personne ». L’échec de cette nouvelle mobilisation, Laurent Le Bouëdec ne veut même pas y penser. « Ce serait très dur… Là, c’est le flou total mais j’y crois ». Avec le plan amiante, Laurent Le Bouëdec partira à la retraite dans cinq ans et il n’imagine pas voir son usine fermer. Ni avant son départ, ni après. « Je ne veux pas partir avec la porte fermée, cela me ferait mal au cœur. Je suis fier d’être un fondeur, de bosser ici. C’est un savoir-faire ».
La déception Renault
En 30 ans, Laurent Le Bouëdec a connu une dizaine de postes à la Fonderie de Bretagne, « on peut dire que j’ai fait le tour de l’usine de la bavure des pots d’échappement, que l’on ne produit plus, à la fusion en passant par le noyautage. Aujourd’hui, je suis à la manutention ». Il travaille en 2/8, de 6 h à 14 h ou de 14 h à 22 h pour un salaire de 1 850 €, « certains diront que c’est bien mais après 30 ans de boîte, ce n’est fou, ça remplit le frigo mais pas de quoi faire des folies », confie le manutentionnaire. Nul besoin de s’entretenir longtemps avec Laurent pour comprendre qu’il ne se bat pas que pour un emploi et le salaire qui va avec. « On est comme des frères, on est une famille », rabâche Maël Le Goff, leader CGT, aux salariés. Laurent, célibataire et sans enfant, a effectivement fait de la fonderie sa famille. « Ici ce sont mes amis, on se voit le week-end, en dehors du boulot ». Alors il lutte pour cet outil industriel qu’il connaît par cœur. Ce week-end, il a dormi à la fonderie sur un matelas gonflable. « Je suis déçu de Renault, quand on lit le tableau noir qu’il dresse de la fonderie… Ça fait mal d’entendre parler de son usine comme ça. On ne demande pas grand-chose : juste travailler. C’est un devoir de se bagarrer ». Pour Jean-Paul et les autres.
La chélidoine ou plante à verrues se complait sur les murs du Parc de Kerbihan
Si vous vous rendez dans le parc de Kerbihan en montant vers l’ancienne chapelle sur les murs qui voisinent avec la longue allée que les jardiniers appelaient l’allée des cèdres bleus et qui servait de cadre par la passé aux amoureux qui aimaient s’y retrouvé, poussent quelques plants de chélidoine dont le latex jaune sert à soigner les verrues; Vous coupez la feuille et vous découvrirez ce latex de couleur or
Chélidoine : une plante contre les verrues plantaires
Les verrues plantaires sont des affections cutanées relativement fréquentes. Toutefois, comme elles sont contagieuses, elles nécessitent d’être traitées rapidement. La chélidoine permet de soigner les verrues plantaires et constitue donc une alternative naturelle aux traitements plus agressifs. Focus sur la chélidoine.
Chélidoine : caractéristiques
La chélidoine (Chelidonium majus) est une plante commune qu’on trouve un peu partout dans les jardins ou dans la campagne (d’avril à octobre), notamment dans les zones humides. Elle se caractérise par ses jolies petites fleurs jaunes (mais malodorantes) et un suc jaune orangé semblable à du latex qui s’écoule de sa tige lorsqu’on la brise. Ce suc contient de la coptisine, une substance naturelle capable d’empêcher la multiplication cellulaire. Elle contient également des alcaloïdes toxiques.
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Je souhaite un excellent mandat à Michelle Dollé qui va demain prendre ses fonctions en tant que première magistrate d’Hennebont
Michelle Dollé qui vient de prendre ses fonctions sera la première femme à diriger la citée fleurie. Comme sa voisine Armelle Nicolas qui n’est autre que la maire d’Inzinzac Lochrist ces gentes dames ont pris le pouvoir dans nos deux villes voisines si proches par leur histoire commune
Hennebont. Michèle Dollé, future première femme maire de la commune
La démission du maire d’Hennebont (Morbihan), André Hartereau, sera effective dès jeudi 6 mai 2021, à l’occasion d’une séance du conseil municipal. Sa première adjointe de toujours, Michèle Dollé, lui succédera.
C’est historique. Et aussi un scénario qui n’avait rien d’écrit à l’avance. Ce jeudi 6 mai 2021, lors d’une séance d’installation du conseil municipal, Michèle Dollé succédera à André Hartereau, devenant ainsi la première femme maire d’Hennebont (Morbihan).
Pour cette Alsacienne d’origine, née il y a 66 ans dans la vallée du Thann, près de Colmar, la fonction n’avait rien du plan de carrière. Première adjointe d’André Hartereau depuis la victoire de 2014, elle n’a jamais vraiment cherché la lumière médiatique. Je sais qu’elle est ma place, et celle que j’occupe me convient très bien
, répète-t-elle à l’envi. Et aussi : Je n’ai jamais demandé de poste à André
» se confie t’elle ce matin dans les colonnes de Ouest France
C’est un gros coup de coeur musical que j’adresse au talentueux accordéoniste Jérémy Simon qui se présente aux départementales comme suppléant sur la liste de gauche conduite par Laure Le Maréchal et Pierre Yves Jégonday
Comme j’ai été bercé à défaut d’en jouer par mon frère Serge qui est un artiste compositeur je ne pouvais que souhaiter bonne chance à Jérémy Simon qui est aussi un brillant accordéoniste; Jérémy qui se présente aux départementales en compagnie d’Astrid Silvin comme suppléant de la liste de gauche conduite par Laure Le Maréchal et Pierre Yves Jégonday avait d’ailleurs été invité à la demande du ministre des affaires étrangères Jean Yves Le Driant avec son compère du groupe de musique bretonne Nijadell Fabrice Lothodé pour le lancement de l’émission « Vox Breizh », sur France 3 Bretagne.
Départementales. À Hennebont, Astrid Silvin et Jérémy Simon suppléants sur la liste de gauche
Astrid Silvin et Jérémy Simon seront suppléants de Laure Le Maréchal (UDB) et Pierre-Yves Jegonday (EELV) aux élections départementales dans le canton d’Hennebont (Morbihan).
Tous deux sont ne sont encartés dans aucun parti, mais partagent des valeurs communes : « Un souci d’égalité sociale, de faire avancer la question de l’écologie, de mettre en avant le patrimoine, la langue bretonne… ». Des valeurs qu’ils ont retrouvées lors de leurs échanges avec les membres de la liste de gauche de Laure Le Maréchal (Union démocratique bretonne), conseillère municipale de la majorité à Hennebont, et Pierre-Yves Jégonday (Europe Écologie les Verts), où Astrid Silvin et Jérémy Simon sont aujourd’hui suppléants. Une échelle départementale, qu’ils jugent intéressante pour faire avancer les choses
.
Des mobilisations locales
Maman de 41 ans, Astrid Silvin habite Port-Louis (Morbihan) depuis trois ans, après avoir vécu dix ans à Hennebont. Ingénieure agronome, travaillant actuellement dans une entreprise de l’économie sociale et solidaire pour la revitalisation des sols et la gestion forestière, elle est engagée dans différents collectifs citoyens et associations visant à favoriser les solidarités comme force de résilience face aux crises. Elle est également animatrice de spectacle vivant et pratique la danse contemporaine.
De son côté Jérémy Simon, 34 ans, père de deux enfants, est originaire d’Inzinzac-Lochrist et a grandi à Hennebont. Installé par la suite à Languidic, il fut le directeur de l’école municipale pendant huit ans, et est aujourd’hui musicien professionnel et chef de chœur d’un ensemble hennebontais. « Je suis passionné par les échanges, le partage et le développement de projets citoyens », indique celui qui, en 2016, créa l’association languidicienne de producteurs et consommateurs “les LANG’ducteurs”, forte aujourd’hui de plus de 600 adhérents, avec notamment son projet de drive fermier.
Actuellement conseiller municipal, il souhaite participer à cette aventure départementale en tant que « représentant de listes citoyennes pour contribuer à renforcer le lien et le dialogue entre les habitants de notre territoire et le département du Morbihan ».
C’est un grand bravo que j’adresse au talentueux photographe du Télégramme Bruno Perrel qui lors du canal football club a crevé l’écran après que les joueurs du FC Lorient aient fait la pause devant son objectif
Comme j’ai beaucoup d’estime pour Bruno Perrel, je me suis régalé en regardant hier soir sur le canal football club le résumé de la rencontre entre le FC Lorient et le SC O D’Angers remporté brillamment 2-0 par le FCL. Yoane Wissa après avoir ouvert le score flanqué de ses camarades se sont précipités vers l’objectif de Bruno pour célébrer ce but et cette victoire qui assurera peut être le maintien aux Merlus. Bruno que je salue méritait bien… Ce coup de projecteur
Le président de l’USMontagnarde Kévin Le Gal tire déjà les plans sur la comète après l’extraordinaire parcours des forgerons en coupe de France;
« Comme cela fait trois ans que tout le monde attend ce moment, l’objectif de la prochaine saison sera de retrouver la Nationale 3 », le dynamique président de l’USMontagnarde Kévin Le Gal ne cache pas ses ambitions pour le, prochain exercice. L’an dernier c’est une véritable injustice qui avait privée les équipiers du brillant capitaine forgeron Mickael Tison de retrouver le championnat national. Micka Tison à l’orée de la saison me confiait » On doit oublier au plus vite cet injustice et il faudra que l’on soit plus forts encore ». Même si le championnat de R1 s’est arrêté alors que les forgerons étaient en tête, ceux-ci ont donné une belle réponse aux dirigeants du football bretons qui contre toute attente alors que l’USMontagnarde aurait du valider son accession cette décision pour le moins controversée et surprenante qui avait permit l’an passé à la surprise générale à la B de Saint Brieuc d’accéder contre vents et marée à la N3. Revanchards les partenaires de Nathan Rio allaient soulever les montagnes en coupe de France devenant par la même le premier club de régional dans la nouvelle formule à accéder au 16ème de finale de l’épreuve reine du football français étant même à deux doigts de poursuivre l’aventure s’ils avaient transformés l’une des deux balles de match qu’ils eurent lors de la séance de tirs aux buts à Saumur. Les forgerons qui s’offrirent au cours de cette aventure le scalp de 10 équipes dont notamment l’équipe première de Saint Brieuc qui joue le haut de tableau en National. A la sortie du Mané Braz les bouillants supporters montagnards ne se privèrent pas de chambrer les dirigeants briochins. La saison terminée Kévin Le Gal pense déjà au nouvel objectif qui sera la remontée en N3 « Ce superbe parcours en coupe de France va faire financièrement du bien au club. On va tout d’abord essayer de conserver tout notre effectif, tout en essayant de se renforcer, tout nos supporters attendent avec impatience de nous voir retrouver notre place dans l’élite » Kévin qui est très fier du panache dont a fait preuve son équipe durant cette saison ou elle a sorti trois clubs de niveau supérieur avait déjà annoncé la couleur lors de la victoire aux tirs aux buts contre Concarneau qui joue le haut de tableau en National » Cela fait 10 ans que l’on attendait un exploit en coupe de France » il était loin de penser à ce moment là que ses joueurs se qualifieraient pour les 16ème de finale s’offrant à leur tableau de chasse deux autres équipes de niveau supérieur à savoir Dinan Léhon et Saint Brieuc »
« Que La Montagne est belle«
Passé par les rangs de l’USMontagnarde et de Kervignac Corentin Trécant vit un rêve éveillé avec l’équipe de France espoirs
Le Lorientais Corentin Trécant fait partie du staff de l’équipe de France Espoirs aux côtés du sélectionneur Sylvain Ripoll, une occasion qu’il a saisie il y a deux ans. Et ce jeune infirmier n’en revient toujours pas.
« Imaginez un peu. Joueur de football amateur en Régional 3 le week-end, infirmier auprès de patients tétraplégiques la semaine. Mais aussi membre du staff de l’équipe de France Espoirs de football, aux côtés du sélectionneur Sylvain Ripoll, c’est depuis deux ans la nouvelle vie de Corentin Trécant » commente ce matin dans Ouest France la charmante Juliette Michenaud… Originaire d’Hennebont ou son oncle Joël est d’ailleurs conseiller municipal Corentin a fait ses premières armes à l’USMontagnarde ou il a côtoyé un certain Corentin Le Lann. (Corentin Le Lann qui est le fils de l’ancien professionnel Arnaud Le Lann et Corentin Trécant ont pour particularité d’avoir leurs pères qui dirigent l’agence intérim Acti Breizh); Après avoir fait brillamment ses classes à l’USMontagnarde, Corentin Trécant a rejoint avec son frère les rangs de Kervignac; La suite s’apparente à un conte de fée puisqu’en 2019 à 26ans il est devenu l’intendant des Bleuets durant les tournois internationaux , et court de compétition en compétition au rythme des jeunes Tricolores Euro Espoirs 2019 en Italie, Euro Espoirs 2021 en Hongrie; « Je viens aider l’intendant titulaire. Avec lui je m’occupe de préparer les équipements du staff et des joueurs, du matériel sur le terrain.. Et ça, les jours d’entrainement; On gère tout du début à la fin » précise t’il. Corentin qui a été aussi l’intendant du FC Lorient » C’était une chouette expérience c’est au FCL que j’ai débuté ma carrière comme intendant saisonnier pendant plusieurs étés; C’est là que j’ai rencontré Sylvain Ripoll qui était alors l’entraineur lorientais » Corentin qui a sans doute cotôyé Patrick L’Hostis qui est passé par l’USMontagnarde était devenu l’entraineur des gardiens de buts du FC Lorient et aussi de l’équipe de France espoirs. Corentin qui dans le quotidien de l’équipe espoirs retrouve d’anciens joueurs du centre de formation lorientais qu’il a connus lors de ses étés chez les merlus « Je parle souvent de Lorient avec Mattéo Gendouzi, Illan Meslier, Alexis Claude.. Maurice…Avec eux le rapport est plus naturel » Malgré un emploi du temps chargé, Corentin n’en oublie pas son club de coeur la Saint Efflam, après chaque compétition il offre un maillot dédicacé » Cette année ce sera celui d’Eduardo Camavinga » Confie t’il en guise de conclusion à Juliette Michenaud