Coupe de France. 32es : St-Brieuc, « une autre montagne à passer » pour l’US Montagnarde … |
L’US Montagnarde reçoit le Stade briochin, samedi après-midi (13 h 30), pour les 32es de finale de la Coupe de France. Contre le pensionnaire de National, les Montagnards (R1) auront fort à faire.
Au stade Mané Braz d’Inzinzac-Lochrist, une sacrée étape
attend les Montagnards contre St-Brieuc (13 h 30). Les mots sont de Mickaël Tison, qui jouera le quatrième 32e de finale de sa carrière cet après-midi. Le capitaine lochristois a hâte, comme tous ses coéquipiers. C’est toujours de l’excitation de jouer la Coupe de France
, explique-t-il. L’équipe est concernée,
motivée
, avant d’affronter le pensionnaire de National.
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« Une bonne mentalité »
Justement. Trois divisions séparent les adversaires du jour. Une montagne à passer
, rit Mickaël Tison. Pourtant, l’US Montagnarde a déjà éliminé Concarneau (N), au 5e tour. On l’a déjà fait, oui, approuve le capitaine. Mais c’est toujours dur de rééditer.
D’après lui, Saint-Brieuc viendra avec un autre état d’esprit, aussi. À ce niveau de la compétition, les équipes sont prévenues.
Et le Stade briochin connaît bien la pelouse du Mané Braz, pour y être notamment venu lors du septième tour de la Coupe, l’an passé. Une victoire costarmoricaine (2-1), après prolongations. J’avais senti leur grande force collective, qui ne lâche rien, se souvient Mickaël Tison. J’ai envie de dire qu’on se ressemble un peu dans les valeurs. Ils ont un gros état d’esprit, comme nous. Sauf qu’ils jouent en National, donc il va falloir se méfier de tout le monde.
Pour tenter de passer un tour de plus, l’USM pourra s’appuyer sur un collectif à la bonne mentalité, indique encore Mickaël Tison. Les jeunes se sont bien améliorés. Ils ont pris de la maturité, dans la façon d’aborder le match notamment. Il y a de l’émulation au sein du groupe.
Une saine concurrence qui a permis à La Montagne d’atteindre son objectif des 32es, comme l’expliquait l’entraîneur Nicolas Cloarec en début de semaine. Au prochain tour, les équipes pros entrent en lice. À mes joueurs de rêver et de faire ce qu’il faut pour continuer à rêver.
Juliette MICHENAUD. Ouest-France