S’il a grandi au quartier de Kerglaw ou a été créer le club de football de l’USMontagnarde, Jacques Le Ludec n’a jamais enfilé la tunique bleu de l’USM.L’USMontagnarde est par excellence le club du front populaire celui qui fut longtemps maire de Kervignac était resté très populaire dans son quartier natal si bien que quand il évoquaient son nom les anciens dont la plus part revendiquaient leurs attaches aux partis de gauche l’appelaient affectueusement Jacky. Jacky qui tire ainsi sa révérence et a qui je souhaite du fond du coeur la santé surtout et une bonne retraite ;
Canton d’Hennebont. Jacques Le Ludec stoppe, Muriel Jourda repart
En ne se représentant pas, l’ancien maire de Kervignac clôt 43 années d’engagement local. Muriel Jourda, élue avec Jacques Le Ludec en 2015, veut poursuivre l’aventure.
« J’ai 76 ans et 43 années de divers mandats. C’est l’heure de la retraite ! » Jacques Le Ludec ne se représentera pas aux élections départementales, qui, sauf report, auront lieu en juin prochain.
« La proximité »
Jacques Le Ludec, ancien maire emblématique de Kervignac (Morbihan), a été élu conseiller départemental en 2011. On disait alors conseiller général et c’était le canton de Port-Louis. En 2015, les ciseaux de François Hollande sont passés par là, donnant naissance au nouveau canton d’Hennebont regroupant six communes : Hennebont, Languidic, Kervignac, Port-Louis, Locmiquélic et Riantec.
FIN DES CHAMPIONNATS ANTICIPÉS, MISE EN PLACE D’UNE COMPÉTITION AMICALE
Poussé par les annulations complètes de cette saison 2020/2021 par les fédérations de rugby, handball, Basket-Ball, la fédération française de football devrait aussi se positionner très bientôt, dans ce même sens, pour annoncer le coup de sifflet anticipé de cette saison tronquée à 80%. Eminemment historique à tout point de vue, la ligue de Bretagne a préféré anticiper et communiqué en amont sur cette décision future de la FFF, en marquant sa volonté de ne pas partir sur dix mois de coupure complète pour les seniors.
Ainsi, sous réserve d’une possibilité sanitaire, en mai et juin, la ligue propose de partir sur un mode de compétition amicale, avec une poule unique jouée sous la formule de l’échiquier. Bien connu des phases finales régionales et départementales jeunes, le schéma sera reproduit à l’identique pour permettre aux équipes de retrouver l’attrait du simple match et la confrontation entre clubs. Laissant à libre disposition des différents districts bretons d’en faire de même, la Ligue a divisé en trois niveaux de compétitions, cette suite possible à la fin de saison, rappelant son cadre gratuit, non obligatoire et volontaire.
Un premier chapeau regroupant les équipes niveau N3/R1 appelé la Champions League, un deuxième uniquement les équipes de R2, la Breizh League et enfin une Breizh Cup pour les équipes pour les formations de R3. Avec un même nombre de matchs pour toutes les équipes volontaires avec un classement final en bout de course. Pour le football féminin,le même dispositif est proposé pour la R1F et la R2F
Par cette décision, la Ligue de Bretagne prend un signal fort de ne pas vouloir voir cette saison mourir de ce deuxième confinement du 28 octobre, qui avait marqué la fin de la compétition pour 99% des équipes bretonnnes (exceptés les formation de championnat National et celles encore en lice en coupe de France). Afin de tourner la page de la manière la moins brutale possible.
Cléguer. L’opération Je chope les déchets est lancée !
Les administrateurs de la caisse locale du Crédit Agricole, avec un groupe de coureurs à pied des Foulées de Cléguer proposent un nettoyage de printemps dans la commune de Cléguer, jusqu’au 17 avril.
L’opération, nommée Je chope les déchets, part d’un constat que les fossés sont à nouveau pollués par des déchets. « Nous proposons de prendre le problème à bras-le-corps. Nous comptons sur la mobilisation des associations locales, des marcheurs et sur un grand nombre d’habitants », explique Christian Le Brizoual, président de l’agence locale.
Cette année, pour éviter tout rassemblement, chaque personne devra utiliser ses propres bacs ou la déchetterie suivant la nature du déchet.
L’idée est de prendre une photo ou une vidéo à la fin de chaque nettoyage et de l’envoyer à Guillaume Gérard par e-mail : jechopelesdechets@gmail.com ou de la poster sur la page Facebook Je chope les déchets.
À l’issue de l’opération après le 17 avril, un point sera fait sur les quantités récoltées et les secteurs traités. 30 tee-shirts tirés au sort seront offerts aux participants.
Jusqu’au 17 avril, Guillaume Gérard au 06 63 00 24 55, Christian Le Brizoual au 06 80 06 08 12.
Hennebont. Les Bretagnards ou la passion bretonne pour les Pyrénées
Après sa trilogie des Bistrots Breizh, consacrée à la découverte à vélo des vieux cafés bretons, le Hennebontais Pascal Le Liboux s’intéresse aux colonies de vacances qui ont permis à plusieurs générations de Bretons de découvrir les Pyrénées.
Il y a les Bretons, les montagnards, et quand les deux s’additionnent, les Bretagnards. Un joli néologisme qui donne son titre au quatrième livre de Pascal Le Liboux. Après trois tomes rafraîchissants consacrés aux vieux bistrots, découverts à travers un périple cycliste sur les routes bretonnes, l’Hennebontais (il est par ailleurs conseiller municipal et vice-président de Lorient Agglomération), donne encore du mollet.
Cette fois, il est question de randonnées dans les Pyrénées. Une passion bretonne, née au sortir de la Seconde Guerre mondiale, que cet ouvrage de 144 pages s’emploie à retracer avec une subjectivité assumée.
Ainsi, au commencement était l’abbé Boutet. Nous sommes en juillet 1945, un bâtisseur incroyable , qui emmène 80 garçons et 50 filles à Aulon, en vallée d’Aure. Le succès est fulgurant, avec 400 participants deux ans plus tard, puis 650 en 1951. Dans la Bretagne rurale, pas forcément très riche, la colonie de vacances était la seule possibilité d’évasion , observe Pascal Le Liboux.
Prêtre « contrebandier »
Le début d’une relation étroite entre plusieurs générations de Bretons, pour beaucoup du Morbihan et du Sud-Finistère, et les massifs pyrénéens. Dans Les Bretagnards, les souvenirs de l’auteur vont à deux prêtres de la congrégation des Spiritains, Pierre-Marie Menguy et Jean Dehais, qui prendront le relais de l’abbé Boutet. S’y mêlent aussi des anecdotes plus ou moins personnelles, les fiertés adolescentes après l’ascension d’un col.
C’est aussi la description d’une époque révolue, avec ses conditions d’hygiène et de sécurité toutes relatives, ses personnages hauts en couleur. Ainsi, à propos de ce géant barbu de 120 kg , qu’était le père Menguy, Pascal Le Liboux écrit : Insoupçonnable comme un homme d’Église peut l’être, démontrant, avec ses pulls en guenille et ses salopettes percées, son vœu de pauvreté (l’épouse du douanier du Val d’Aran lui faisait, encore il y a peu, un colis de Noël, avec les chemises usagées de son mari), il n’en fut pas moins le plus redoutable contrebandier des années 1970-1980. Assumant parfaitement son trafic (« Dieu a créé le monde sans frontières »), il passait jusqu’à 800 litres de porto par an, dans des jerricans épousant à la perfection les dimensions des marches de son car.
« Noces d’or » avec les Pyrénées
Combien de Bretagnards ? Des milliers, assurément. La deuxième partie du livre dresse une galerie de portraits de Bretons qui ont fait des Pyrénées leur métier, leur vie. Des guides de haute montagne, des moniteurs de ski, d’escalade, une gardienne de refuge… Une procédure est d’ailleurs en cours pour baptiser officiellement un sommet « Pen des Bretagnards ».
Pascal Le Liboux, qui vient de fêter ses noces d’or avec la chaîne pyrénéenne (il y retourne chaque année depuis un demi-siècle), en est convaincu : malgré la fin de ces colonies pour raison économique, la lignée des Montagnards n’est pas pour s’interrompre. Il y a toujours un centre qui accueille des scolaires , indique-t-il. Et aussi, toujours des Bretagnards pour transmettre leur passion.
Son livre, disponible, selon la formule, dans toutes les bonnes librairies, n’est peut-être pas non plus le dernier. Footballeur invétéré – il joue encore en club -, Pascal Le Liboux recèle d’anecdotes sur les rencontres de district (les dernières divisions), ses derbys, ses arbitres bénévoles, ses fratries… En somme, encore des histoires de mollets.
Les Bretagnards, de Pascal Le Liboux, 15 €, aux Éditions Tilenn.
Handball. Le Lanester HB « se projette… sans visibilité »
L’entraîneur lanestérien, Mathieu Hurtaud, fait le point alors que la Fédération française de handball a décrété l’arrêt des compétitions.
Mathieu Hurtaud, la saison blanche était devenue inéluctable ?
« Oui. Plus le temps s’écoulait, avec seulement quatre matches joués au compteur, on ne se faisait plus beaucoup d’illusions quant à une reprise du championnat, quelle que soit la forme. C’est dur pour tout le monde, mais il n’y avait pas d’autre choix. »
Du coup, qu’allez vous faire d’ici l’été ?
« On a la chance d’avoir quelques joueurs professionnels dans l’équipe. Et avec l’autorisation de la municipalité, on peut s’entraîner en salle, et donc préparer la saison 2021-2022, en espérant bien sûr que celle-ci puisse se disputer normalement. On va aussi essayer de mettre en place, si les conditions le permettent, des matches ou des tournois amicaux. »
La relance sera forcément compliquée ?
« Elle le sera pour tout le monde, pour tous les sports. On essaie de se projeter, mais sans visibilité. À Lanester, on peut s’appuyer sur une structure solide. On met des choses en place pour conserver nos jeunes licenciés. Mais la vérité ne sera pas la même pour tous les clubs. »
Accéder à la Proligue reste d’actualité ?
« Le projet reste en place. Reste à savoir quelle sera la prochaine formule de la N1. On peut aussi penser que les critères financiers pour l’obtention du statut VAP (voie d’accès au professionnalisme) vont être revus à la baisse. »
BAPTISTE BOURLÈS, EN PLEIN DANS L’AVENTURE DE CANET EN ROUSSILLON, EN COUPE DE FRANCE
Le 7 avril, l’équipe de Canet en Roussillon FC (N2) jouera un 8ème finale de la coupe de France, face à la lanterne rouge du National, l’US Boulogne/Mer. Porté dans la lumière par leur retentissant succès contre l’Olympique Marseille (2-1, L1), au tour précédent, les Canétois espèrent gratter encore un tour pour poursuivre leur extraordinaire parcours. Bloqué en championnat N2, depuis la fin octobre, Le Canet en Roussillon poursuit d’une manière inattendue sa saison 2020/2021, avec cette coupe de France. Parmi les joueurs canétois figure Baptiste Bourlès, un ancien joueur de l’US Concarneau, aussi passé par les rangs de la Guidéloise, son premier club en jeunes et l’US Montagnarde.
Légende: Baptiste Bourlès (ici avec l’US Concarneau) attend avec impatience le 8ème finale de la coupe de France de Canet en Roussillon face à Boulogne/Mer, au stade Gilbert Brutus, de Perpignan, le 7 avril.
» C’est un bon petit gars, vu les blessures qu’il a eues, son mérite n’en est que plus grand d’avoir su rebondir de la sorte », souligne Hervé Guillermic qui l’a eu sous sa coupe en U17 à l’US Montagnarde. Il ne tarit pas déloges sur les qualités de ce fin milieu de terrain. Ayant intégré l’équipe, Baptiste Bourlès fait parti de l’effectif senior de Canet en Roussillon. Pour arriver à ses fins, le Guidelois a vécu un véritable parcours du combattant . » J’ai d’abord, à l’initiative de mon père, commencé dès l’âge de cinq ans à pratiquer le football à la Guideloise, club où je suis resté jusqu’à mes 15 ans. Ensuite comme j’ai poursuivi ma scolarité à Concarneau, vu que j’étais trop juste pour intégrer les U17 du club. J’ai trouvé un club intermédiaire qui n’était autre que l’US Montagnarde où j’ai fait, sous la coupe de Patrice Pourrère quelques matchs dans l’équipe fanion de cette catégorie. Ensuite, j’ai pu rejoindre Concarneau dirigé par Romain Le Barrilier et ensuite de Michel Le Lay des U17 à U19 avec la dernière année, un maintien en national ( Génération Maxime Boin, Hugo Guillaume, Ruben Moreira…). La crise du covid a fait ensuite que je j’avais plus de projection pour l’avenir. j’ai rejoint ma grand-mère qui habite Argelès sur Mer, et j’en ai profité pour envoyer mon CV au club de Canet en Roussillon ».
Un coup de poker gagnant pour Baptiste Bourlès « Mon acclimatation n’a pas été de tout repos car je me suis blessé ce qui m’a fait raté deux mois de compétition. Mon abnégation a quand même payé car je fais parti du groupe de l’équipe première, j’ai même eu la chance de participer au 4ème tour de la coupe de France. Vu que l’on a un groupe de 25 joueurs, il y’a de la concurrence. Comme Le Canet en Roussillon est un club convivial comme ce fut le cas contre l’OM, les joueurs qui ne sont pas sur la feuille de match, étaient tous présents, au stade, pour encourager l’équipe ».
Educateur au club de Canet en Roussillon, en formation BPJEPS destiné aux métiers du sport, Baptiste Bourlès, au parcours accrocheur, a réussi à se faire une place au soleil, en Roussillon. Face à Boulogne/mer, c’est tout un club et une région Catalane qui revêra en grand pour porter l’équipe à se dépasser et mettre un cap historique vers les quarts finale.
Le Hennebont Futsal-club lance une tombola solidaire envers ses licenciés, les restaurateurs du coin et les Restos du cœur.
Comme pour de nombreux clubs sportifs, le contexte sanitaire a mis à l’arrêt les activités du Hennebont Futsal-club (Morbihan). Seul club futsal du département à aligner une équipe U18, le club hennebontais compte 35 licenciés qui évoluent en compétition et 35 adhérents qui pratiquent en loisirs.
Pour soutenir les licenciés qui ont payé une licence complète en 2021, les dirigeants ont lancé une tombola en ligne. Ils en profitent pour soutenir les Restos du cœur. « Si une partie de l’argent collecté permettra d’offrir à nos sportifs leur prochaine licence, nous souhaitons aussi faire un acte solidaire. Nous reverserons la moitié du fruit de cette tombola aux Restos du cœur d’Hennebont » explique Nicolas Kerdudo, le président qui précise « cette tombola est ouverte à tous ceux qui souhaitent soutenir le Hennebont Futsal-club et les restaurateurs de proximité qui dynamisent nos communes ».
Le principe
Le Hennebont Futsal-club s’est associé avec vingt restaurants dont huit d’Hennebont pour lancer cette tombola. Les billets sont à acheter en ligne sur le site Hello asso au prix de 1 €. Avec à gagner vingt-trois lots composés de deux repas offerts par les restaurateurs partenaires et quatre livres de cuisine dédicacés par la cheffe Nathalie Beauvais. La tombola sera en ligne jusqu’au 12 avril. « Deux cents tickets ont déjà été achetés », précise Anthony Tehery, le secrétaire du club.
Suite au contexte sanitaire, le challenge Adrien Ruyet, la mort dans l’âme, est contraint à renoncer à l’édition 2021, le 1er et 2 mai, et son rassemblement régional du 16 et 17 avril. Sans perspectives sur les prochaines semaines, les organisateurs ont fait connaître leur décision, ce lundi, sur les réseaux sociaux. Ce rassemblement U9, coordonné par l’école de football de l’US Montagnarde, est devenu au fil des années un évènement sportif majeur en Bretagne, attirant des écuries de renommées mondiales comme la Juventus Turin, le FC Porto, Feyenoord Rotterdam ou les plus grands clubs français, Olympique Marseille, Girondins Bordeaux, Stade Rennais, FC Nantes… Yann Kerzerho et son équipe organisatrice donnent déjà rendez-vous en 2022, pour une édition triplement attendue, le 16 avril pour le rassemblement régional et le 30 avril et 1er mai pour le plateau final, à Mané Braz.
« C’est un bon petit gars, vu les blessures qu’il a eu son mérite n’est que plus grand d’avoir su rebondir de la sorte » Hervé Guillermic qui l’a eu sous sa coupe enU17 à l’USMontagnarde ne tarit pas déloges sur Baptiste Bourlès qui fait parti de l’effectif du Cannet en Roussillon qui vient de sortir l’Olympique de Marseille en coupe de France. Pour arriver à ses fins le Guidelois a vécu un véritable parcours du combattant « J’ai d’abord à l’initiative de mon père commencé dès l’âge de cinq ans à pratiquer le football à la Guideloise, club ou je suis resté jusqu’à mes 15 ans ; Ensuite comme j’ai poursuivi ma scolarité à Concarneau, vu que j’étais trop juste pour intégrer les U17 du club, j’ai trouvé un club intermédiaire qui n’était autre que l’USMontagnarde ou j’ai fait sous la coupe de Patrice Pourrère quelques matchs dans l’équipe fanion de cette catégorie. Ensuite j’ai pu rejoindre Concarneau ou sous la coupe de Romain Le Barrillec et ensuite de Michel Le Lay j’ai porté les couleurs des thoniers de U17 àU19 avec la dernière année un maintien en national, La crise du covid a fait ensuite que je j’avais plus de protection pour l’avenir j’ai donc pris le pris le risque de rejoindre ma grand-mère qui habite Argelès sur Mer, et j’en ai profité pour envoyer mon CV au club du Canet en Roussillon ». Un coup de poker gagnant pour Baptiste « Mon acclimatation n’a pas été de tout repos car je me suis blessé ce qui a fait que j’ai raté deux mois de compétition ; Mon abnégation a quand même payé car je fais parti du groupe professionnel, j’ai mai même eu la chance de participer à plusieurs matchs de coupe de France. Vu que l’on a un groupe de 25 joueurs il y a de la concurrence ; Comme Le Cannet en Roussillon est un club convivial comme ce fut le cas contre l’OM les joueurs qui ne sont pas sur la feuille de match étaient présents pour encourager l’équipe ».
Baptiste en admiration devant Mattéo Petitgenêt et Nicolas Cloarec
Tout en vivant pleinement l’aventure de son club, Baptiste vante à ses amis les mérites de l’USMontagnarde » Avec Sabri El Attal qui était équipier du gardien de but de l’USM Mattéo Petitgenêt quand celui-ci portait les couleurs du SCO D’Angers on a suivi l’épopée des bleus. De Mattéo et de Nicolas Cloarec je garde de superbes souvenirs lors de mon passage à Concarneau ; Nicolas est un copain de mon père quant à Mattéo après un entraînement mon père en venant me chercher l’a également ramené dans le Morbihan ». Baptiste qui a eu comme partenaire en équipe de jeunes à Guidel Thomas Miniou qui faisait avant l’arrêt des championnats de fréquentes apparitions de l’équipe de R2 de l’USMontagnarde dirigée par Olivier Moullac continue son petit bonhomme de chemin « Non content de faire pari du groupe de N2 je suis animateur pour le club», Prochaine étape pour les pyrénéens le huitième finale de coupe de France face à un club de Boulogne qui fut par le passé drivée par l’actuel mentor de Concarneau passé par les rangs de l’USMontagnarde Stéphane Le Mignan
Le footballeur de l’USMontagnarde Léo Martin a dû savouré hier le festival qu’a fait Warren Barguil dont il est fan sur la dernière étape de Paris Nice. Warren a pris la poudre d’escampette pour animé cette 8ème étape n’a pas été récompensé de ses louables efforts. Le Lochristo kervignacois n’a néanmoins pas tout perdu car il termine à la 14ème place ; Un résultat prometteur qui va permettre à Warren de monter en puissance.