« Erwann Rieux fait valser de bonheur l’USMontagnarde » c’est cette expression consacrée que j’utilisai souvent pour mettre lumière d’Erwann Rieux qui a été avec Christophe Stéphant et Romuald Le Maguer l’un des joueurs qui a, connu le plus d’épopée en coupe de France comme celle face à l’ASMonaco dans un stade du Moustoir en folie. Dans une première vie Erwann faisait déguster à ses clients brioches et pains qu’il confectionnait , c’est ainsi que ses camarades l’avaient surnommé La Boulange; Comme Erwann sur le terrain et en dehors avait une conduite exemplaire c’est naturellement comme moniteur auto école qu’il s’est converti; Son entreprise à Hennebont tourne à plein régime; Erwann qui avant de prendre la direction des équipes de jeunes du Vannes OC avait fait une dernière pige comme entraineur de l’équipe B de l’USMontagnarde là aussi la réussite fut au rendez vous; Il vient de se lancer un nouveau défi puisqu’il entrainera la saison prochaine le FC Auray pensionnaire de R1 ou il aura sous ses ordres un autre ancien montagnard Jérome Landraing; Erwann qui sera en terrain conquis car duFCAuray est passé par l’USM tout comme Bruno Lantrin à qui Erwann va succéder Bruno qui rejoint Pierre Talmont au Vannes OC.
Un petit conseil si vous voulez passez votre permis n’hésitez pas à faire travailler Erwann
J »aurai prochainement à travers de nombreuses photos le plaisir de retracer sur le site la brillante carrière sous le maillot de l’USMontagnarde
« On travaille d’arrache pied à ce que la réouverture se passe dans les meilleurs conditions, en plus du public assidu on espère avoir de nouveaux convives » c’est ce que me confiait début de semaine le, patron des terrasses du Blavet Olivier Olivier Giorgetti qui aujourd’hui a le droit à un bel article dans Ouest France
Cléguer. Foulées de Cléguer : ils n’ont pas arrêté de courir !(Article Ouest Frnce)
Si, depuis plus d’un an, la majorité des coureurs du club local n’a pu participer à une épreuve sportive, ce n’est pas pour autant qu’il ne s’est rien passé au sein de l’association. En effet, un petit groupe a continué de proposer des sorties hebdomadaires en tenant compte des conditions sanitaires et des décisions départementales. « Une façon de maintenir l’association en vie, souligne Christian Le Brizoual, adhérent de l’association. Et pour éviter toute forme de monotonie, différents lieux ont été proposés »
Bretagne ultra-trail connecté
Philippe Ehouarne a imaginé un objectif commun, le But connecté : « Il s’agit de courir entre Quimperlé et le port de Doëlan, du 3 mai au 3 juin, sans notion de compétition. Chaque participant devra verser 5 €, qui seront reversés aux services des sports de Kerpape ainsi qu’à l’association Ysae qui œuvre pour le bien des patients atteints du cancer ».
Avec les Foulées de Cléguer, il sera possible de courir seul ou par groupe de 6 maximum. Sur les 25 participants de Cléguer, 10 ont choisi de partir du bourg de Locunolé et de parcourir 50 kilomètres : « Nous invitons nos amis coureurs d’autres communes à y participer d’autant plus qu’il y aura un tirage au sort avec beaucoup de lots ! ».
Le Trail de la vallée du Scorff « n’avait pu avoir lieu l’année dernière et nous espérons pouvoir à nouveau l’organiser en octobre prochain. Pour cela il va falloir remotiver les bénévoles et les dirigeants… », conclut Christian Le Brizoual.
But connecté, inscriptions sur le site Kiklego et info sur la page facebook But connecté.Cléguer. Foulées de Cléguer : ils n’ont pas arrêté de courir !
Fonderie de Bretagne. Les grévistes ont bloqué la voie express dans le sens Lanester-Hennebon(Article Ouest France)
Depuis trois semaines, les fondeurs de Caudan (Morbihan) se mobilisent contre la fermeture du site. Ce vendredi 14 mai 2021, une assemblée générale s’est tenue de 14 h à 14 h 40 à huis clos à la Fonderie de Bretagne. Vers 15 h, ils ont quitté le site direction le rond-point du Géant Lanester avant de rejoindre la voie express dans le sens Lanester-Hennebont.
Trois semaines qu’ils occupent et bloquent leur usine à Caudan, près de Lorient(Morbihan). Les grévistes de la Fonderie de Bretagne ne lâchent rien. Ce vendredi 14 mai 2021, une nouvelle assemblée générale a démarré à 14 h, à huis clos, sur le site de Fonderie.
Une réunion à Rennes, mercredi
210 salariés sont sur place. Ils sont furieux d’avoir reçu une convocation du groupe Renault pour discuter la reprise, mercredi 19 mai, à la préfecture de Rennes, et non plus Paris comme initialement annoncé. Ils vont voter pour une action cette après-midi.
14 h 40, l’assemblée générale vient de se terminer.
Vers 15 h, les fondeurs quittent le site de l’usine direction le rond-point du Géant Lanester. 15 h 23, ils arrivent à l’instant au rond-point de Lann Sévelin. Ils bloquent les lieux, ce qui provoque des perturbations sur la circulation. Si l’ordre du jour de la réunion de mercredi prochain n’est pas modifié, ils ne bougeront pas, annoncent-ils. Ils attendent un retour du ministère de l’Économie.
Direction la voie express
Vers 16 h, ils se préparent à quitter le rond-point et se dirigent vers la voie express. 16 h 30, ils arrivent sur la voie express dans le sens Lanester-Hennebont.
Ils ont rejoint la Montagne du Salut via la voie express. Ce qui a d’ailleurs provoqué un énorme bouchon sur la RN165. Ils ont fait demi-tour et rejoignent à présent le site de la Fonderie à Caudan. D’autres actions sont prévues dans le week-end.Fonderie de Bretagne. Les grévistes ont bloqué la voie express dans le sens Lanester-Hennebont
C’est avec beaucoup d’émotion que j’ai appris la disparition de Michèle Rault avec qui lors des sorties qu’elle organisait pour le comité des oeuvres sociales de la ville d’Hennebont de bons et de beaux moments d’amitié; Ce matin sur le journal Ouest France fait l’éloge de Michele sous le titre
Un hommage à Michèle Rault, samedi15 mai
Le personnel communal a appris avec tristesse le décès de Michèle Rault. Agée de 56 ans, celle ci avait d’abord travaillé comme agent des écoles, puis fut affectée au centre socioculturel. Elle oeuvra longtemps au Cos(Comité des oeuvres sociales) de la ville entant que secrétaire. » C’était quelqu’un de très humain; Très facile de relation, elle était toujours prête à aider les autres » relève Laetitia Hello une collègue de travail.« Souriante, très investie, elle laisse un grand vide « confie Yannick Le Faouder le président du COS. Je l’ai côtoyée aussi à titre personnel, au sein de l’amicale de Kerihouais,ainsi qu’a l’association des parents d’élève de l’école Paul Eluard ou elle donnait un coup de main; Au COS comme elle adorait voyager, c’est elle qui était la référente pour organiser nos grandes sorties »
Demain à 14heures, un hommage sera rendu àMichèle au Centre funéraire de Kerlétu à Lorient
Mouloud Akloul pour qui j’ai par ailleurs une immense estime m’a appelé hier pour m’annoncé qu’il ne serait plus l’entraineur du CEPLorient la saison prochaine; » Je n’étais pas en accord avec la direction c’est pour cette raison que j’ai décidé de prendre une année sabbatique »; L’ancien Lorientais qui ne désespère pas » Si un autre club me propose un nouveau projet qui me convient, je prendrai le temps d’y réfléchir’
A une époque qui est heureusement révolue, les jardiniers qui travaillaient dans le parc de Kerbihan avaient parfois pour habitude de passer aux affaires courantes; Il était ainsi fréquent que les anciens fassent preuve de générosité en payant des bouteilles de porto; Le seul hic c’est qu’a l’époque Jean Esnault qui a créé le service jardins devenu par la suite le service espace verts il y a une soixante d’année veillait au grain ce qui a valu de connaitre des scènes insolites. Ainsi de peur de se faire prendre à l’annonce de l’arrivée du chef les anciens cachaient les bouteilles de porto dans les troncs des arbres; Le seul hic c’est que entre temps ils avaient été appelés pour d’autres taches tant et si bien que quand ils voulaient retrouver leurs bouteilles ils ne se souvenaient plus ou ils avaient caché le porto; Ainsi certains troncs du parc de Kerbihan détiennent des grands crus.
Jérémy Desdouets tout en venant supporter son club de coeur l’USMontagnarde au mois de février lors du match de coupe de France face à Elven ou il avait apporter ses compétences aux webmasters Pierre Le Vaillant et Pierre Martin et à l’assureur tous risques Sam Le Gal qui retransmettaient la rencontre en direct sur USM TV ,était déjà affuté en vu du périple qui l’attendra dans quatre jours en partance du Mont Saint Michel
PORTRAIT. Jérémy Desdouets se donne 25 jours pour établir le record du GR34(Article Ouest France)
Le Lorientais Jérémy Desdouets, traileur de 31 ans, va tenter d’établir le record du GR34. Il partira le 15 mai du Mont Saint-Michel. Sa compagne et son bébé l’accompagneront jusqu’à Saint-Nazaire. Il espère boucler les 2 000 kilomètres en 25 jours.
La pandémie de coronavirus a freiné Jérémy Desdouets dans son élan. Les annulations de trails se sont multipliées, et la perspective de raccrocher un dossard s’éloignait au fil des mois. Alors, au lieu de se morfondre, le natif d’Hennebont s’est investi dans un challenge qu’il avait dans un coin de sa tête depuis deux ans.
Et s’il établissait un premier record officiel GR34 ? « L’année 2020 m’a fait réfléchir à ma pratique du trail. Je fais ça pour les compétitions ? Pas forcément. Pour trouver mes limites ? Oui, plus. Un record comme ça, ça pourrait chatouiller mes limites. Dans un calendrier classique de courses, je n’aurais pas pu me libérer un mois pour le faire. »
Le 15 mai prochain, le traileur de 31 ans s’élancera donc dans sa quête de record, accompagné par sa compagne et sa fille. Le chrono se déclenchera au Mont Saint-Michel. Jérémy Desdouets passera ensuite par Saint-Malo, la Côte de Granit rose, la pointe du Finistère, le golfe du Morbihan, avant la dernière ligne droite jusqu’à Saint-Nazaire.
Pendant sa tentative de record, le tracker de l’application OpenRunner et sa montre GPS enregistreront le parcours que la Fédération française de randonnée a déjà validé. Ainsi, le record pourra être homologué.
Depuis qu’il a évoqué ce challenge sur les réseaux sociaux, le Morbihannais a reçu plusieurs centaines de messages. Il sait que son tour de Bretagne va être scruté de près. Et notamment dans le village d’Inzinzac-Lochrist, là où il a grandi. Il côtoyait un certain Warren Barguil à l’école et au centre aéré. Mais lui est toujours resté loin du monde du cyclisme.
« L’US Montagnarde, c’est un club que j’ai dans les veines »
Petit, Jérémy Desdouets s’oriente d’abord vers le foot. Il sera gardien de but à l’US Montagnarde, de ses 6 à 18 ans. « Je suis encore très attaché au club, j’ai suivi la dernière épopée en Coupe de France. C’est un club que j’ai dans les veines, je connais encore beaucoup de monde. »
Les études vont l’éloigner de son Morbihan natal. Deux ans de classes préparatoires à Nantes, puis trois ans à l’Edhec, une grande école de commerce. Il passe la première année à Lille, les deux suivantes à Nice. C’est là qu’il va découvrir l’univers du trail. « J’ai été président de l’association Raid Edhec, qui organise, sur cinq jours, un raid aventure dans l’arrière-pays niçois (vélo, canoë, trail…). Ça m’a mis le pied à l’étrier, et j’ai voulu continuer les sports de nature. Je me suis naturellement dirigé vers le trail. Ça fait une dizaine d’années maintenant. »
Il participe à ses premières courses en 2013. En 2014, il a un déclic : « Lors de l’Ultra-trail du Mont-Blanc, j’ai couru la TDS (Sur les Traces des ducs de Savoie, 120 km), et c’est vraiment la course qui m’a motivé à poursuivre dans le trail. »
Deux abandons sur la Diagonale des fous
En 2016, il prend une licence au Cima Pays d’Auray. « Depuis, je collabore à distance avec un coach, Sébastien Pineau, qui m’aide dans les plans d’entraînements. Je me suis alors concentré sur les manches du Ouest trail tour (OTT), qui comporte sept courses en Bretagne. » Il finira 5e en 2017, 4e en 2018. Puis enchaînera des podiums sur épreuves relevées comme le Trail du Glazig, le Ménestrail, le trail de la Vallée du Scorff… « Quand tu commences à faire des podiums sur ces épreuves, tu commences à compter dans l’Ouest », sourit celui qui compte deux Diagonale des fous à son actif.
Une première fois en 2017, où il abandonne à vingt kilomètres de l’arrivée – « un abandon difficile à justifier, je jouais le général sur le Ouest trail tour (OTT), j’ai préféré m’économiser, un choix qui ne s’est pas avéré payant » –, et une seconde, en 2019, où il a pris le départ dans l’équipe du Team OTT mais surtout avec une déchirure au mollet. Il abandonne, encore, cette fois au bout de 15 kilomètres. Et passera quatre mois de convalescence.
« Nous, les traileurs bretons, nous avons un profil de puncheurs »
En cette année 2019, il a plus de réussite sur l’Ultra-marin (87 km entre Sarzeau et Vannes) où il monte sur le podium. La même année, on le retrouve sur le Golden trail series, un challenge national. Le souvenir du trail du Ventoux lui vient à l’esprit. « J’ai fini 18e, c’était extrêmement relevé, avec un dénivelé énorme sur 46 bornes. » Sur La Bouillonnante, en Belgique, il prend une belle 8e place, sur un circuit qui lui rappelle sa Bretagne. « Il y avait des montées à 50-100 m de dénivelé, comme chez nous. D’ailleurs, les Bretons, si je peux comparer avec vélo, on a davantage un profil de puncheur que de grimpeur. »
Ses bonnes performances sur le Golden trail series le mèneront à la finale, la Skyrun au Pays basque. « C’était très difficile, ça n’avait rien à voir avec les courses du challenge. Là, c’était 20 km à 1 800 m de D +… On était noyé dans le niveau international, face à des gars comme Davide Manini, l’un des meilleurs sur les formats courts avec Kilian Jornet… » L’une des dernières courses qu’il a pu faire avant que la pandémie de coronavirus ne vienne tout chambouler.
« Quand je cours, je suis très centré sur l’analyse, la préparation »
En parallèle de son activité de traileur (amateur), il travaille dans la finance. Loin de l’image de trader sans scrupule, il se définit comme un professionnel de l’investissement. « Je travaille dans un fonds d’investissement. On est constamment dans l’analyse, avec la valorisation et la négociation des transactions. Il y a beaucoup d’échanges internationaux. »
Une vie professionnelle bien remplie, pour laquelle il multiplie les allers-retours entre Paris et le Morbihan, où il a un appartement à Lorient. « Le sport m’apporte un équilibre. Quand je cours, je suis très centré sur l’analyse, la préparation, la réflexion de cette pratique. »
« J’aime faire le parallèle avec le Vendée Globe »
De préparation, il en a été beaucoup question avant de s’élancer pour le record du GR34. « Je pense courir 10 à 11 heures par jour. Il faudra que je trouve ma routine dès le début. Et que je m’impose une discipline. Je ne serai pas comme dans une course à rechercher de la vitesse. J’aime faire le parallèle avec le Vendée Globe. Je vais être sujet aux conditions, à la technicité du parcours. Je pars avec une idée de distance sur la journée, mais je devrais m’adapter. Il faudra garder le cap sans se mettre trop de pression mentalement. Et, surtout, avoir la progression la plus régulière possible. »
Hennebont. Michèle Dollé élue sans surprise nouvelle maire( Article Ouest France)
L’ancienne première adjointe d’André Hartereau, démissionnaire, est devenue maire d’Hennebont (Morbihan), ce jeudi soir 6 mai 2021.
Après sept ans à la tête de la mairie d’Hennebont (Morbihan), André Hartereau a cédé sa place à sa fidèle première adjointe Michèle Dollé, ce jeudi 6 mai 2021, lors d’une réunion du conseil municipal consacrée à cette passation. La nouvelle maire, première femme à accéder à cette fonction dans la commune, a été élue sans surprise avec l’ensemble des 26 voix du groupe de la majorité Hennebont Initiatives Citoyennes (HIC), devançant le chef de file du groupe d’opposition de gauche Hennebont pour tous (HPT), Fabrice Lebreton, son unique adversaire du jour, qui obtient 5 voix.
Démissionnaire, André Hartereau avait annoncé mi-mars son départ, évoquant une importante fatigue physique liée « en grande partie au stress et à la difficulté de la tâche ». Il continue de siéger en tant que simple conseiller municipal. « Quand le corps dit non, il faut savoir l’écouter. Merci à André pour son investissement auprès des Hennebontais », déclare Marie-Françoise Cérez (HIC), chargée d’ouvrir la séance en tant que doyenne de l’assemblée.
« Échec d’une politique »
Des remerciements de courte durée, la politique reprenant vite ses droits à Hennebont. Saluant brièvement quelques réalisations du maire sortant, comme la construction d’une nouvelle cantine à Langroix ou des rénovations de bâtiments, le groupe Hennebont pour tous choisit de dresser un bilan de l’ère Hartereau, qualifiée de « grande illusion ».
« Parodie de concertation », « gouvernance verticale », « vision néolibérale », « gestion du personnel calamiteuse », les cinq élus n’ont pas de mots assez durs pour dénoncer « l’échec d’une politique », celle d’une « déclinaison locale du macronisme ». Michèle Le Bail, du groupe Liste indépendante (sans étiquette), observe de son côté « des problèmes de cohésion » dans le groupe majoritaire. Une allusion notamment aux élections départementales, où deux élus de la majorité figurent sur des listes concurrentes.
« Caricature »
« Je comprends mieux l’envie d’un maire de démissionner en vous entendant, s’agace Pascal Le Liboux (HIC). On est plus que dans la critique, pas loin de la caricature. » Et de lister les réalisations de la municipalité depuis 2014, comme la refonte de l’entrée de ville, la gestion de la friche de l’hôpital, etc. « Je suis choquée par le procès fait à André Hartereau », ajoute l’adjointe aux solidarités, Nadia Souffoy, rejointe par son collègue aux finances, Stéphane Lohézic.
Pour son dernier discours en tant que maire, André Hartereau préfère louer les mérites de l’équipe municipale et de Michèle Dollé, les encourageant à « poursuivre dans la mobilisation des énergies positives et dans la recherche du consensus ». « Les dossiers en cours et les engagements pris seront respectés, lui promet son successeur. André, tu gardes bien ta place au sein de l’équipe. »
Du mouvement chez les adjoints
La première adjointe devenant maire, le conseil municipal a dû procéder à un nouveau vote pour répartir les huit postes d’adjoints. Sans surprise, les sept en place sont réélus, chacun gagnant une place dans la numérotation. Ainsi, l’ex deuxième adjoint, Yves Guyot, devient le nouveau premier adjoint de Michèle Dollé, et par définition son bras droit. Il conserve ses compétences sur l’urbanisme et les mobilités.
Les autres adjoints sont : Nadia Souffoy, 2e adjointe (solidarités) ; Stéphane Lohézic, 3e adjoint (finances et e-administration) ; Claudine Corpart, 4e adjointe (culture, vie associative et cheval dans la ville) ; Thierry Falquerho, 5e adjoint (travaux) ; Valérie Mahé, 6e adjointe (parcours de l’enfant et du jeune) ; Julian Pondaven, 7e adjoint (transition citoyenne, écologique et solidaire).
Lisenn Le Cloirec, nouvelle adjointe
Jusqu’à présent simple conseillère municipale référente à la vie associative et culturelle, Lisenn Le Cloirec devient la 8e adjointe, en charge des ressources humaines. Âgée de 43 ans, clerc de notaire, cette élue « jamais encartée » est hennebontaise « depuis quinze ans ».
« Quand on m’a proposé le poste, ça a été une surprise, et une fierté aussi », reconnaît-elle. « J’ai accepté tout de suite, c’était difficile de refuser ! » Parmi ses grands chantiers, « il y a évidemment le passage aux 1 607 heures décidé par l’État » pour les agents territoriaux. Lisenn Le Cloirec évoque aussi son souhait de « lutter contre la précarité » qui peut toucher certains personnels. « Tous les agents ne sont pas forcément en CDI, certains ne savent pas s’ils vont être renouvelés », ajoute-t-elle.
Première passe d’armes pour Michèle Dollé
De son propre avis moins encline que son prédécesseur à ferrailler avec les élus d’opposition, Michèle Dollé n’a pourtant pas manqué de relever le gant. Interrogée par Hennebont pour tous sur une éventuelle indemnité accordée aux élus minoritaires, la réponse par la négative de la nouvelle maire d’Hennebont est du genre explicite, évoquant sa « méfiance » à leur égard : « Vous vous situez dans une opposition systématique, dans le clivage. »
« Propos inadmissibles », bondit Aurélia Henrio (HPT). « Nous méritons un minimum de respect », s’agace-t-elle. Réponse de l’intéressée : « Ne vous attendez pas à un discours doux et policé quand vous nous attaquez de la manière dont vous l’avez fait en début de séance. »Hennebont. Michèle Dollé élue sans surprise nouvelle maire